Août 142012
 

De retour après pas mal de temps, faut dire que j’étais bien occupé…

Tout d’abord, l’année scolaire à l’IRG s’est terminée pour moi fin mai, vu que je ferai le stage et l’épreuve intégrée plus tard. Bilan : toutes les UF réussies et 81% au total. Pas mal, même si j’espérais un peu plus…

Tout de suite après, le rush à l’EFPME : des cours jusqu’à 4 fois par semaine, plus 4 examens durant les 3 dernières semaines de juin. Bilan : 87% au total comme l’année dernière, « pas mal, même si j’espérais un peu plus ». Ensuite, pas le temps de souffler, on embraye sur le TFE pour la rédaction duquel on ne dispose finalement que de 6 semaines. Terminé… ce matin, il ne me reste « plus qu’à » l’imprimer (en 10 exemplaires et cela prend… 2h pour un seul). Bref, à remettre ce vendredi et sa défense orale se fera le 8 septembre.

Mais bon, j’ai quand même trouvé le temps ces dernières semaines de faire un peu de pédagogie (je me suis à poster sur le forum d’Enseignons.be et j’ai continué à suivre leurs articles fort intéressants) et de didactique car la bibliothèque du Ceria a enfin reçu la « bible » que je leur avais demandée : Enseigner l’informatique paru chez Springer. Cela a bien été le choc attendu, mais en plus cela m’a donné de nouvelles idées pour mon épreuve intégrée, comme par exemple (je les mets en vrac, elles seront à reformuler, bien entendu) :

  1. Apprendre aux élèves à gérer les erreurs informatiques
  2. Apprendre aux élèves à lire l’informatique avant de l’écrire
  3. Des outils de visualisation pour découvrir l’informatique invisible
  4. Des abstractions qui deviennent concrètes (et réciproquement)
  5. Durant les travaux pratiques, le professeur ne touche jamais aux machines et les élèves doivent formaliser leurs questions par écrit

Une chose est sûre : voilà un ouvrage à lire, à relire et à exploiter pendant bien longtemps.