De retour après pas mal de temps, faut dire que j’étais bien occupé…
Tout d’abord, l’année scolaire à l’IRG s’est terminée pour moi fin mai, vu que je ferai le stage et l’épreuve intégrée plus tard. Bilan : toutes les UF réussies et 81% au total. Pas mal, même si j’espérais un peu plus…
Tout de suite après, le rush à l’EFPME : des cours jusqu’à 4 fois par semaine, plus 4 examens durant les 3 dernières semaines de juin. Bilan : 87% au total comme l’année dernière, « pas mal, même si j’espérais un peu plus ». Ensuite, pas le temps de souffler, on embraye sur le TFE pour la rédaction duquel on ne dispose finalement que de 6 semaines. Terminé… ce matin, il ne me reste « plus qu’à » l’imprimer (en 10 exemplaires et cela prend… 2h pour un seul). Bref, à remettre ce vendredi et sa défense orale se fera le 8 septembre.
Mais bon, j’ai quand même trouvé le temps ces dernières semaines de faire un peu de pédagogie (je me suis à poster sur le forum d’Enseignons.be et j’ai continué à suivre leurs articles fort intéressants) et de didactique car la bibliothèque du Ceria a enfin reçu la « bible » que je leur avais demandée : Enseigner l’informatique paru chez Springer. Cela a bien été le choc attendu, mais en plus cela m’a donné de nouvelles idées pour mon épreuve intégrée, comme par exemple (je les mets en vrac, elles seront à reformuler, bien entendu) :
- Apprendre aux élèves à gérer les erreurs informatiques
- Apprendre aux élèves à lire l’informatique avant de l’écrire
- Des outils de visualisation pour découvrir l’informatique invisible
- Des abstractions qui deviennent concrètes (et réciproquement)
- Durant les travaux pratiques, le professeur ne touche jamais aux machines et les élèves doivent formaliser leurs questions par écrit
Une chose est sûre : voilà un ouvrage à lire, à relire et à exploiter pendant bien longtemps.